Header Ads

Pourquoi les Pacers termineront 2ème à l'Est ?

L'ailier sera candidat au titre de MVP cette saison

En l'espace de quelques mois seulement, Indianapolis est passé du statut d'équipe qui joue simplement les playoffs, à celle de contender pour une place en finale de conférence à l'Est et peut-être plus.


Les Pacers sont parmi les grands gagnants de la dernière intersaison NBA. Avec de nombreux renforts tel qu'Al Jefferson ou encore Jeff Teague pour ne citer qu'eux, la franchise de l'Indiana fait figure de candidat sérieux à la deuxième place de la conférence Est derrière les indétrônables Cavaliers de LeBron James. 

Paul George : MVP ?

Paul George est, comme à son habitude, la figure de proue de cette équipe et fera partie des joueurs à suivre pour le titre de meilleur joueur de l'année. Alors que peu de monde voyait Indianapolis en playoffs, l'an passé, PG a fait mentir la grande majorité des observateurs. 23,1 points, 7 rebonds, 4,1 passes décisives par match et une 7e place à l'Est.

L'ancien de Fresno a frappé très fort pour son retour après sa fracture à la jambe droite. Il a porté à bout de bras les Pacers tout au long de la saison régulière et à même poussé les Raptors jusqu'au Game 7 au premier tour de la « postseason » pour réaffirmer toujours un peu plus son statut de superstar dans la ligue. Entouré de plusieurs joueurs de calibres All-Star, le 10e choix de la Draft 2010 peut devenir bien plus qu'une arme de destruction massive.

Des renforts nombreux et de qualité

La Free Agency source du futur succès des Pacers ?

Le mot d'ordre cet été, du côté du front-office, était d'entourer Paul George pour que cette formation puisse franchir un cap. Larry Bird n'a pas chômé, que ce soit lors de la free agency et sur le marché des transferts. Au total, 7 arrivées dont Jeff Teague, Aaron Brooks, Al Jefferson et Thaddeus Young sont des ajouts de choix. L'accent a été mis essentiellement sur l'attaque avec ces additions. 

Teague, l'ancien meneur d'Atlanta, par sa gestion et sa vision du jeu peut s'intégrer à n'importe quel effectif, il est tout à fait capable de sanctionner derrière la ligne à trois points. Jefferson par sa fiabilité à mi-distance, son arsenal de mouvements dos au panier et malgré ses 31 balais est encore mesure de perforer de nombreuses raquettes adverses.

Dans un registre de « stretch forward », Thaddeus Young apporte une menace longue-distance suffisante pour étirer les défenses. Enfin, Aaron Brooks en tant que sixième homme, dans un rôle de dynamiteur en sortie de banc a une belle carte à jouer pour animer la rotation de Nate McMillan. 

De l'expérience et une jeunesse talentueuse 

Il est l'un de pivots les plus prometteurs de la ligue

Myles Turner incarne à merveille cette nouvelle génération de  Big Men, même si sa progression est certainement plus lente que celle d'un Karl-Anthony Towns ou d'un Anthony Davis, ce jeune garçon dispose d'un énorme talent. 10,3 points, 5,5 rebonds, 1,4 contres par matchs pour un temps de jeu moyen de 23 minutes par rencontres. Turner s'est affirmé comme une valeur sûre et le nouveau titulaire au poste de pivot pour les Pacers. 

En bref, de nombreux chamboulements autant dans l'effectif qu'au niveau du coaching staff et le départ de Frank Vogel. Si l'alchimie se crée, les coéquipiers de Paul George risquent bien de donner du fil à retordre à bon nombre de leurs adversaires.


Expert NBA / NFL 

Team Who's The Bet

Aucun commentaire

Fourni par Blogger.