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NBA : Prédictions avancées du classement de la Conférence Est

Cleveland Cavaliers

1. Cleveland Cavaliers

La saison dernière : 1ers (57 victoires - 25 défaites) / Champions de la NBA

En juin dernier, LeBron James a enfin rempli sa mission ! 52 ans après le titre de NFL remporté par les Browns en 1964, les Cavaliers sont devenus les champions de la NBA. La joie et le soulagement dans la ville de Cleveland furent sans précédent.
La franchise de l'Ohio vise désormais le doublé et devait forcément conserver sa légende : James a ainsi prolongé pour trois ans et 100 millions de dollars. Néanmoins, Cleveland a dit au revoir à la précieuse doublure de Kyrie Irving, Matthew Dellavedova, parti à Milwaukee, et à Timofey Mozgov, qui a rejoint Los Angeles. Pour l'heure, JR Smith n'a toujours pas prolongé et les renforts de Mike Dunleavy (Chicago) et Chris Andersen (Memphis) semblent suffisants aux Cavaliers pour régner, cette saison encore, sur la Conférence Est, mais il en faudra clairement plus pour contrer les Warriors.

Toronto Raptors

2. Toronto Raptors

La saison dernière : 2èmes (56 victoires - 26 défaites) / Finale de Conférence

Après 15 ans d'attente, les Raptors ont vaincu la malédiction ! Toronto a en effet remporté sa première série de playoffs depuis 2001 contre Indiana (4-3). L'équipe canadienne s'est même hissée jusqu'en Finale de Conférence après avoir éliminé Miami (4-3), pour finalement sortir contre Cleveland (2-4).
Soulagés, Kyle Lowry et DeMar DeRozan peuvent désormais continuer d'écrire l'histoire de leur franchise. Le second, attaché à sa ville et à son équipe, a justement prolongé son contrat avec les Raptors de cinq ans, en échange de 139 millions de dollars. Toronto a perdu Bismack Biyombo, le patron de sa défense à l'intérieur, mais a limité la casse avec Jared Sullinger. Cela pourrait suffire pour finir juste devant les Celtics dans le classement final.

Boston Celtics


3. Boston Celtics

La saison dernière : 5èmes (48 victoires - 34 défaites) / Premier tour

Les Celtics voulaient Kevin Durant, mais ils ne sont pas à plaindre, puisqu'il ont obtenu Al Horford. Le pivot dominicain, quatre fois All-Star avec Atlanta, a rejoint Boston pour un contrat à hauteur de 113 millions de dollars sur quatre ans. Aussi bon défenseur qu'attaquant, son arrivée justifie les grandes ambitions de « Beantown », bien décidé à ramener le 18ème titre de son histoire incessamment sous peu. Il cumulait à 15.2 points et 7.3 rebonds l'an passé avec les Hawks, et son association à Isaiah Thomas suscite bien des promesses.
Boston a laissé filer Evan Turner, son sixième homme, à Portland, mais Gerald Green, de retour dans l'équipe qui l'a drafté en 2005, apportera sa folie en sortie de banc. Jared Sullinger est parti à Toronto mais l'arrivée de Horford, conjuguée au surplus d'intérieurs (Amir Johnson, Tyler Zeller, Kelly Olynyk et Jonas Jerebko) suffira aux Celtics. Rappelons que Boston a aussi acquis Jaylen Brown en troisième position de la Draft.

Indiana Pacers

4. Indiana Pacers

La saison dernière : 7èmes (45 victoires - 37 défaites) / Premier tour

Les Pacers sont passés tout près d'éliminer les Raptors au premier tour des playoffs (3-4) et sont bien décidés à jouer un rôle majeur dans la Conférence Est cette saison. Dans cette optique, Indiana a notamment acquis Jeff Teague, Thaddeus Young et Al Jefferson.
Le premier tournait à 15.7 points et 5.9 passes décisives à Atlanta malgré une blessure au genou, le second se morfondait à Brooklyn (15.1 points et 9 rebonds) alors que le troisième sort d'une saison compliquée à Charlotte (12 points et 6.4 rebonds de moyenne). Jefferson apportera son expérience au jeune Myles Turner au poste de pivot, tandis que Paul George et les Pacers comptent bien profiter du jeu rapide de Teague.
Indiana, qui a aussi enrôlé Aaron Brooks, l'ancienne doublure de Derrick Rose à Chicago, peut espérer obtenir l'avantage du terrain en playoffs avec toutes ces recrues, et son nouvel entraîneur, Nate McMillan.

Detroit Pistons

5. Detroit Pistons

La saison dernière : 8èmes (44 victoires - 38 défaites) / Premier tour

De retour en playoffs après huit saisons misérables, les Pistons comptent bien y retourner cette année. Pour cela, le General Manager et entraîneur de la franchise du Michigan, Stan Van Gundy, n'a pas hésité à mettre la main à la poche. Le talentueux pivot Andre Drummond (16.2 points, 14.8 rebonds et 1.5 interception l'an passé) a été conservé pour cinq ans et 130 millions de dollars. Detroit a trouvé deux jeunes meneurs - Ish Smith et Ray McCallum - capables de faire souffler Reggie Jackson, et a aussi engagé le géant serbe de San Antonio, Boban Marjanovic, pour trois ans et 21 millions de dollars.
Les Pistons ont recruté intelligemment, et leur jeune effectif devrait leur permettre de sécuriser une place en playoffs assez rapidement.

New York Knicks

6. New York Knicks

La saison dernière : 13èmes (32 victoires - 50 défaites) / Non-qualifiés pour les playoffs

Dans une ville aussi grande et passionnée que New York, les attentes sont parfois grandes, voire démesurées. Pourtant, Phil Jackson semble avoir satisfait les exigences des supporters des Knicks. « Zen Master » a complètement changé le visage d'une équipe qui n'a plus participé aux playoffs depuis 2013, d'abord en y intronisant un nouvel entraîneur, Jeff Hornacek, et en y ajoutant tout un tas de nouveaux joueurs.
Au premier rang de ceux-ci arrive Derrick Rose ; MVP en 2012, il a subi de nombreuses blessures aux genoux qui l'ont empêché de jouer toute la saison 2012/2013 et presque toute la saison 2013/2014 (seulement 10 matches). « D-Rose » a tout de même disputé 66 matches la saison passée avec les Bulls, pour 16.4 points et 4.7 passes décisives de moyenne, et espère se relancer à New York.
Rose a emmené avec lui Joakim Noah, son partenaire à Chicago : fort défenseur et facilitateur du jeu pour ses coéquipiers en attaque, il a manqué 53 matches la saison passée à cause d'une blessure à l'épaule, et le fait qu'il soit souvent blessé incite donc à la prudence.
Les Knicks ont également recruté Courtney Lee, adroit à trois-points (38% de réussite l'an passé), Brandon Jennings, meneur de talent mais qui n'a pas retrouvé le niveau qui était le sien avant sa blessure au tendon d'Achille en janvier 2015, et Justin Holiday, qui a montré de belles choses en fin de saison passée avec les Bulls.
À cela s'ajoutent Willy Hernangomez, Mindaugas Kuzminskas, Marshall Plumlee et Maurice Ndour, quatre joueurs n'ayant jamais joué en NBA, et Lance Thomas, qui a rendu de précieux services en sortie de banc l'an passé.
Carmelo Anthony et Kristaps Porzingis complètent un cinq majeur des Knicks qui a fière allure, mais au vu du banc, qui paraît bancal, et de certains joueurs souvent sujets aux blessures, il est préférable de ne pas s'enflammer trop vite du côté de New York.

Atlanta Hawks

7. Atlanta Hawks

La saison dernière : 4èmes (48 victoires - 34 défaites) / Demi-finale de Conférence

Une nouvelle ère débute à Atlanta, qui s'est séparé de Jeff Teague et d'Al Horford, pour accueillir Dwight Howard, natif de Géorgie. La nouvelle acquisition des Hawks se déclare fière de faire partie de cette équipe. Il faut dire que ses passages chez les Lakers et les Rockets furent loin des espoirs suscités...
La saison des Hawks, qui ont prolongé Kent Bazemore, intronisé Dennis Schröder au poste de meneur titulaire et enrôlé le vétéran Jarrett Jack pour l'encadrer, dépend grandement du niveau de jeu qu'affichera Dwight Howard : s'il retrouve sa motivation pour planer sur la NBA comme ce fut le cas à Orlando, alors Atlanta aura réussi son pari ; si son côté caractériel prend le dessus comme avec Los Angeles puis Houston, alors ATL devra revoir ses ambitions à la baisse.

Washington Wizards

8. Washington Wizards

La saison dernière : 10èmes (41 victoires - 41 victoires) / Non-qualifiés pour les playoffs

Attendus dans les quatre premiers à l'Est l'an passé, les Wizards ont forcément déçu en ne terminant que 10èmes, une place forcément insuffisante pour atteindre les playoffs. Pour éviter une nouvelle désillusion, Washington a fait le ménage en se débarrassant de ses vétérans, comme Nenê Hilario, Jared Dudley, Ramon Sessions et encore Drew Gooden.
Les Wizards ont aussi virés leur entraîneur Randy Wittman pour faire place à Scott Brooks, l'ancien coach de Kevin Durant et de Russell Westbrook à Oklahoma City. Washington a renouvelé sa confiance à son duo John Wall (19.9 points et 10.2 passes décisives)-Bradley Beal (17.4 points à 45%) après avoir prolongé ce dernier pour cinq ans et 128 millions de dollars. Wall a déjà mis en garde Beal, qui a manqué 27 matches pour des blessures récurrentes à l'épaule et à la jambe la saison dernière : « Maintenant que tu as ton argent, tu dois venir jouer et améliorer ton jeu. »
Washington est ambitieux, et c'est la raison pour laquelle il a blindé sa raquette en engageant Ian Mahinmi, Jason Smith et Andrew Nicholson, en plus de Trey Burke, qui suppléera Wall à la mène. Un retour en playoffs sera évidemment l'objectif minimal des Wizards.

Orlando Magic


9. Orlando Magic

La saison dernière : 11ème (35 victoires - 47 défaites) / Non-qualifié pour les playoffs

Fatigué de manquer les playoffs depuis le départ de Dwight Howard en 2012, Orlando est passé à l'attaque cet été, tout d'abord en prolongeant Evan Fournier pour 85 millions sur cinq ans, puis en confiant le rôle d'entraîneur à Frank Vogel, l'expert défensif d'Indiana, après la démission de Scott Skiles.
Le Magic s'est montré agressif sur le marché des transferts en arrachant la machine à contres congolaise de Toronto Bismack Biyombo, et en engageant DJ Augustin, Jodie Meeks et Jeff Green, trois joueurs d'expérience. Les deux premiers amèneront de l'adresse extérieure tandis que le troisième fera profiter de sa polyvalence à la franchise floridienne.
Surtout, Orlando a acquis Serge Ibaka en provenance d'Oklahoma City. Arrivé en échange de Victor Oladipo, Ersan Ilyasova et Domantas Sabonis, il sera appelé à occuper un rôle important en attaque comme en défense. Chez le Thunder, il s'est forgé une solide réputation de défenseur et a développé un tir fiable longue distance (45% à trois-points l'an passé), mais n'était pas la priorité offensive d'une équipe qui comptait en son sein Kevin Durant et Russell Westbrook. Ibaka ne perturbera pas la progression d'Aaron Gordon, puisque ce dernier sera décalé au poste de pivot
Toutes ces arrivés sont censées permettre au Magic de retrouver des playoffs qu'il n'a plus disputés depuis trop longtemps. S'il fait pour l'heure figure d'outsider dans la course aux playoffs, Orlando pourrait en surprendre plus d'un au printemps prochain.

Chicago Bulls


10. Chicago Bulls

La saison dernière : 9èmes (42 victoires - 40 défaites) / Non-qualifiés pour les playoffs

Au sortir d'une saison 2015/2016 fort décevante qui l'avait vu passer à côté des playoffs, Chicago avait promis du changement, et ça n'a pas manqué ! Les Bulls ont dit au revoir à Derrick Rose, Joakim Noah, Pau Gasol et Mike Dunleavy pour accueillir Dwyane Wade, Rajon Rondo et Robin Lopez.
Wade, après treize ans et trois titres à Miami, se déclare heureux de revenir dans la ville qui l'a vu naître. Rondo, quant à lui, atterrit à Chicago après deux expériences ratées à Dallas puis à Sacramento. Tous les deux ont promis de s'effacer au profit de Jimmy Butler, seul rescapé majeur de l'effectif la saison passée.
Les postes d'arrière sont désormais pleins - sans compter l'arrivée du rookie Denzel Valentine - et on n'aimerait pas être à la place de l'entraîneur Fred Hoiberg, l'entraîneur des Bulls.
« Chitown » a donc chamboulé son équipe, ce qui lui laisse un banc à remplir, et nous sommes sceptiques quant à l'association Rondo-Butler-Wade, trois joueurs évoluant à des postes identiques qui ont tous les trois besoin du ballon pour exister et dont l'ego ne cesse de croître.

Charlotte Hornets

11. Charlotte Hornets

La saison dernière : 6èmes (44 victoires - 38 défaites) / Premier tour

Nous sommes peut-être durs avec les Hornets, qui sortent d'une saison 2015/2016 très satisfaisante qui a failli les voir renverser le Heat au premier tour des playoffs (3-4) et qui ont en plus conservé Nicolas Batum (120 millions de dollars sur cinq ans) et Marvin Williams (54.5 millions de dollars sur quatre ans). Charlotte a néanmoins vu s'envoler beaucoup d'éléments majeurs cet été. Ainsi sont partis Jeremy Lin, le sixième homme, Courtney Lee, le shooteur longue distance, et Al Jefferson, remplaçant de luxe au poste de pivot.
Si l'arrivée de Marco Bellinelli en provenance de Sacramento est une bonne pioche, les renforts de Roy Hibbert, en difficulté dans le marasme des Lakers, et de Ramon Sessions semblent être insuffisants à « Buzz City » pour retrouver les playoffs au mois d'avril.

Milwaukee Bucks

12. Milwaukee Bucks

La saison dernière : 12èmes (33 victoires - 49 défaites) / Non-qualifiés pour les playoffs

Alors qu'il avait à la surprise générale validé son ticket pour les playoffs il y a deux ans, Milwaukee a fini loin du compte cette saison. Greg Monroe et Michael Carter-Williams, qui suscitaient beaucoup d'espoirs, n'ont pas trouvé leur place dans le collectif des Bucks.
Milwaukee s'est attaché les services de Matthew Dellavedova, champion de la NBA avec Cleveland il y a deux mois, et de Mirza Teletovic, tireur d'élite à trois-points. Les Bucks ont également prolongé Miles Plumlee au prix fort (52 millions de dollars sur quatre ans) alors qu'ils disposaient déjà de Monroe et de John Henson au poste de pivot.
Le jeune socle de l'équipe - Giannis Antetokounmpo, Jabari Parker et Khris Middleton - est prometteur mais la franchise du Wisconsin devrait arriver court cette année encore.

Miami Heat

13. Miami Heat

La saison dernière : 3ème (48 victoires - 34 défaites) / Non-qualifié pour les playoffs

Cette 13ème place peut sembler sévère mais Miami paie son choix de ne pas avoir conserver Dwyane Wade cet été. L'icône du Heat a pris la direction de Chicago après 13 ans de bons et loyaux services en Floride.
Pat Riley, le General Manager du Heat, doit dorénavant apprendre à faire sans Wade et reconstruire une équipe dont la saison dépend en grande partie de la présence ou non de Chris Bosh sur les parquets cette saison. Ce dernier a été forcé de mettre un terme prématuré à ses deux dernières saisons après que des caillots sanguins aient été coup sur coup retrouvés dans son corps. Si Bosh prétend qu'il peut reprendre la compétition, rien n'indique au final qu'il pourra un jour reprendre sa carrière.
Miami a assuré son avenir en prolongeant son pivot Hassan Whiteside (98 millions de dollars sur quatre ans) et son arrière Tyler Johnson (50 millions de dollars sur quatre ans). Dion Waiters a été engagé à un prix plus que décent (2.9 millions de dollars pour un an) et le retour de Beno Udrih est un bon coup, mais les arrivées de Derrick Williams, James Johnson, Luke Babbitt, Wayne Ellington et Willie Reed ne font absolument pas rêver.
Le Heat a dit au revoir à Luol Deng, Joe Johnson, Gerald Green et Amar'e Stoudemire mais ce sont surtout le cœur et l'âme de son équipe, Dwyane Wade, qui s'en est allé cet été.

Philadelphia 76ers

14. Philadelphia 76ers

La saison dernière : 15èmes (10 victoires - 72 défaites) / Non-qualifiés pour les playoffs

Serait-ce enfin l'année du renouveau pour les 76ers ? Philadelphia enchaîne les saisons pathétiques et les records de médiocrité depuis plus de trois ans et se sert de la Draft comme de prétexte pour justifier ses mauvais résultats. L'attente est peut-être levée puisqu'est arrivée en ville le prodige australien Ben Simmons, choisi en n°1 il y a deux mois. Sa venue risque redonner de l'attractivité à Philadelphia, même si le chemin vers la victoire est encore long.
Les Sixers devraient enfin pouvoir compter sur Joel Embiid, dont les graves blessures au pied droit l'ont empêché de jouer le moindre match en NBA depuis qu'il a été drafté il y a deux ans.
Philadelphia verra aussi venir Dario Saric, lui aussi sélectionné il y a deux ans et qui a préféré parfaire ses gammes en Europe durant ce laps de temps.
Simmons, Embiid et Saric sont tous les trois des intérieurs, tout comme Nerlens Noel et Jahlil Okafor, deux autres jeunes joueurs draftés par les 76ers ces dernières années dont la cohabitation a été difficile la saison dernière. L'un et l'autre reviennent régulièrement dans des rumeurs de transferts et il ne serait pas impossible que Philadelphia se sépare d'au moins un des deux dans les mois à venir.
S'il manque toujours un meneur de grande envergure à « Philly », les arrivées de Jerryd Bayless et de Gerald Henderson offriront de l'expérience, apport non-négligeable à une équipe aussi jeune. Nous serons aussi attentifs au retour en NBA de Sergio Rodriguez, qui évoluait au Real Madrid ces six dernières années après un premier passage raté dans la ligue nord-américaine.
Si Philadelphia n'atteindra pas les playoffs en avril prochain, il sera intéressant de voir son évolution cette saison, sa concentration de talents étant porteuse d'espoirs.

Brooklyn Nets

15. Brooklyn Nets

La saison dernière : 14èmes (21 victoires - 61 défaites) / Non-qualifiés pour les playoffs

Absents des playoffs pour la première fois depuis le déménagement à Brooklyn en 2012, les Nets n'y retourneront pas cette année non plus. Le General Manager Sean Marks a tenté quelques paris en offrant 75 millions de dollars à Allen Crabbe et 50 millions à Tyler Johnson - deux jeunes joueurs qui n'ont encore rien prouvé en NBA -, mais Portland et Miami ont respectivement gardé leur joueur.
L'arrivée de Jeremy Lin - 36 millions de dollars sur trois ans - est un plus indéniable pour une équipe qui alternait entre Donald Sloan et Shane Larkin à la mène l'année dernière. Toutefois, le départ de Thaddeus Young à Indiana se fera vite sentir et ce ne sont pas les arrivées des vétérans Greivis Vasquez, Randy Foye, Trevor Booker et Luis Scola qui aideront cette équipe à franchir un cap.
Les Nets peuvent tout de même s'appuyer sur une solide base de jeunes joueurs - Rondae Hollis-Jefferson, Chris McCullough, Sean Kilpatrick, Caris LeVert, Isaiah Whitehead et Joe Harris - qui ne demandent qu'à voir leur potentiel être développé. La franchise new-yorkaise tentera également de lancer Anthony Bennett, retenu comme premier choix de la Draft en 2013 mais qui a échoué partout où il est passé (Cleveland, Minnesota et Toronto).
Brooklyn, qui a un nouvel entraîneur - Kenny Atkinson -, est bien trop léger pour espérer quoique ce soit de cette saison mais les opportunités qu'il aura l'occasion de donner à certains jeunes joueurs pourraient être payantes à l'avenir.


Sami Boulabhaire

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